Oxyde de Graphène

L’hydrogel, une invention de la DARPA, est une puce ressemblant à une lentille de contact souple fabriquée à partir d’oxyde de graphène, le plus petit, le plus fort et le meilleur conducteur d’électricité connu de l’homme. L’hydrogel d’oxyde de graphène possède la conductivité nécessaire pour se connecter aux appareils intelligents, au cloud et à l’IA (Intelligence Artificielle).

Mesurant un atome, l’oxyde de graphène est l’élément primaire de l’hydrogel. Chaque dose de l’injection de Covid-19 contient des trillions de nanorobots auto-répliquants contenus dans l’hydrogel d’oxyde de graphène, ayant la capacité de se désassembler ou de se ré-assembler.

L’élite luciférienne tente de modifier systématiquement l’ADN de l’homme en permettant aux nanorobots de fusionner l’ADN humain et synthétique, créant ainsi un hybride unique de fer et d’argile capable d’interagir avec l’IA. Les nanorobots contenus dans l’hydrogel d’oxyde de graphène ont pour fonction de se cliver puis de pénétrer dans les cellules sans méfiance.  Ce processus est répété des billions de fois, chaque cellule contenue dans chaque organe du corps étant capturée par les nanorobots. À un moment inconnu, l’homme se transforme en un hybride de chair et de métal. 

L’hydrogel d’oxyde de graphène a également la capacité de guérir les blessures instantanément. Peut-être un précurseur de l’Apocalypse 13:3 « L’une des têtes de la bête semblait avoir une blessure mortelle, mais la blessure mortelle avait été guérie. Le monde entier fut émerveillé et suivit la bête. »

Pour éliminer l’oxyde de graphène du corps humain il faut prendre du glutathion (GHS). Le glutathion est une protéine naturellement produite par l’organisme. Parmi toutes ses actions positives dans l’organisme elle a une action antioxydante puissante. Quand l’apport en oxyde de graphène est importante (vaccin) il faut augmenter l’apport de glutathion pour contrer l’effet du graphène.

Une partie de la transition de l’humain à l’hybride implique que les nanorobots forment un essaim en migrant vers le cerveau, pour finalement s’installer dans chaque fissure et crevasse. Les nanorobots récoltent l’humidité du corps et l’utilisent comme agent de croissance. Finalement, la partie biologique originale de ce qui fait de nous des humains commence à se flétrir et à mourir.  De la mort humaine naîtra une naissance hybride.

Les SPIONS, acronyme de « Superparamagnetic Iron Oxide Nanoparticles », facilitent le processus de pénétration des cellules. Grâce à la magnétofection, les SPIONS possèdent une charge magnétique qui leur permet de transporter les protéines synthétiques de pointe dans les cellules.

La magnétofection « exploite la force magnétique exercée sur les vecteurs de gènes associés aux particules magnétiques pour attirer les vecteurs vers, voire dans, les cellules cibles. De cette manière, la totalité de la dose de vecteur appliquée est concentrée sur les cellules en quelques minutes, de sorte que 100 % des cellules sont en contact avec une dose significative de vecteur. « 

Appliqué à l’injection du système d’exploitation Covid-19, le magnétisme devient la force invisible utilisée pour ouvrir les cellules afin de délivrer le vecteur, à savoir les protéines spike.  Sans le magnétisme, les protéines de pointe ne pourraient pas pénétrer dans toutes les cellules du corps. Considérez le magnétisme comme le moteur qui fait pénétrer les protéines de pointe dans les cellules.

Selon le chercheur Jim Stone, il semble que les nanorobots récoltent l’hémoglobine (un type d’oxyde de fer) dans le sang afin de construire quelque chose. C’est tout à fait possible, puisque l’hydrogel magnétique d’oxyde de graphène est composé de particules à base d’oxyde de fer. Jim écrit sur son site :

« Je pense que ce qui était magnétique dans le vaccin était une sorte de nanotechnologie auto-réplicative (une puce n’a pas été injectée), mais plutôt une nanotechnologie avec un tas de nanorobots qui construisent des structures magnétiques dans le bras au point d’injection. Les aiguilles utilisées pour le vaccin sont trop petites pour une puce d’identification et une puce d’identification, même en taille réelle, ne serait probablement pas suffisante pour attirer un aimant.

Si des nanorobots doivent construire une structure magnétique dans le corps, ces nanorobots doivent fonctionner avec ce que le corps a à sa disposition pour le faire. La seule source de métal magnétique facilement disponible dans le corps est l’hémoglobine dans le sang, où un dispositif nanotechnologique pourrait obtenir du fer pour construire quelque chose. Je ne pense pas qu’une injection seule de 1CC ou moins ait pu rendre les gens aussi magnétiques. Ils sont TRES magnétiques, ce qui signifie que ce qui se trouve sous leur peau pour que cela se produise doit provenir de leur propre corps si un aimant s’y colle à travers leur peau.

Au début, j’ai pensé que ça pouvait être juste la piqûre et qu’il fallait un aimant en néodyme pour voir l’effet. Mais les aimants ordinaires en céramique et les aimants souples de réfrigérateur fonctionnent également, et ils le font avec force, souvent sur une surface de 10 cm de côté. Il ne s’agit pas d’un effet marginal. Il se passe quelque chose de sérieux, qui implique que le corps reçoit l’ordre de construire quelque chose qui soit métallique ou qui émette un champ magnétique.

ET SI tous les caillots de sang se produisaient parce que la piqûre a libéré un tas de nanorobots qui ont attaqué le sang pour voler l’hémoglobine et construire quelque chose au point d’injection ?